Ma vision et mes pratiques en séance de fétichisme à Paris
J’aime particulièrement organiser des séances de fétichisme à Paris. Il s’agit de l’une des activités dites “douces” de l’univers BDSM qui peut parfois être rude. Voir un soumis, ou un simple fétichiste à mes pieds, pendant que je lis un livre m’excite. En conséquence, je propose des pratiques de fétichisme des pieds, fétichisme des chaussures, fétichisme des bas et collants, fétichisme du cuir et fétichisme du latex sur Paris.
Mes pratiques fétichistes :
- fétichisme des pieds;
- renifler et lécher mes collants et bas;
- lécher et renifler mes escarpins ou mes bottes et sucer mes talons;
- renifler et nettoyer mes baskets après le sport (avec la langue);
- pieds sales, transpirants ou odorants;
- fétichisme du latex et du cuir.
Tout d’abord, concernant les pratiques concernant les pieds sales, tu feras bien attention à me prévenir à l’avance pour réserver un créneau. Il sera compliqué pour moi de t’offrir un tel service si un soumis que je rencontre avant toi souhaite me lécher les pieds propres.
Enfin, je précise que je lave et stérilise mes pieds et mes chaussures ainsi que tout mon matériel avec des produits utilisés dans les hôpitaux afin d’éviter tout risque de contamination de maladies et infection
Cette liste de pratiques est assez large mais nous devrons convenir ensemble de ce qui est réalisable ou pas. Si certaines de mes pratiques en séance BDSM ne sont pas présentes dans la listes ci-dessous, vérifie qu’elle ne font pas partie de ma liste de limites en bas de cette page. Si elle n’y sont pas, n’hésite pas à me demander si je les apprécies.
L’instant encyclopédie : le fétichisme
On utilise couramment le terme fétiche pour décrire tout stimulus sexuellement excitant, qui ne répond pas tous à la définition médicale du fétichisme.
Les parties ou aspects du corps comme l’obésité et les altérations corporelles, les objets, les cadres et les activités sont tous inclus dans cette définition large du fétichisme comme le tabagisme ou le BDSM.
On décrit les fétiches comme des paraphilies telles que l’urophilie.
Le fétichisme était à l’origine caractérisé par la plupart des sources médicales comme un intérêt sexuel pour les objets non vivants, les parties du corps ou les fluides. L’excitation pour les parties du corps a été exclue des critères diagnostiques du fétichisme dans le DSM-III, qui a été publié en 1980.
Pour en savoir plus sur le fétichisme, consultez cet article de l’Encyclopédia Universalis.
La prévalence du fétichisme dans la société
Certaines études ont tenté d’estimer la prévalence du fétichisme. Une étude de 2007 publiée dans le Journal of Sex Research1 a examiné une échantillon de 902 adultes aux États-Unis et a constaté que 30% des hommes et 16% des femmes avaient des intérêts fétichistes. Une autre étude menée en 20142 par les chercheurs Andreas Wismeijer et Marcel van Assen auprès de 1 500 personnes aux Pays-Bas a montré que 64% des participants avaient un intérêt fétichiste à un certain degré.
Il est important de noter que ces chiffres ne représentent pas nécessairement la population mondiale, ni même la population dans d’autres pays ou cultures, et que ces études ont leurs limites méthodologiques et peuvent être affectées par des biais de réponse. En outre, il est important de respecter la vie privée et l’autodétermination des personnes en ce qui concerne leurs intérêts et pratiques sexuelles.
1Richters, J., de Visser, R. O., Rissel, C. E., Grulich, A. E., & Smith, A. M. (2008). Demographic and psychosocial features of participants in bondage and discipline, « sadomasochism » or dominance and submission (BDSM): data from a national survey. The journal of sexual medicine, 5(7), 1660-1668.
2Wismeijer, A. A. J., & van Assen, M. A. L. M. (2014). Psychological characteristics of BDSM practitioners. Journal of Sexual Medicine, 11(11), 2826-2838.